Pour un retour au cambouis rouilleux, j'ai fini par me rappeler que j'avais déjà ouvert ces étriers dans leurs vies.
À ce moment, j'ai inséré le piston avec seulement du liquide à frein pour aider à l'insertion.
Selon mes recherches Internet, la meilleure pratique est de graisser l'alésage pour prévenir la corrosion, donc ça aurait été un manquement de la dernière fois.
Il faut faire attention que la graisse soit à la base de silicone, et encore là, la compatibilité avec le liquide de frein n'est pas garantie, donc on doit être prudent.
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Les étriers avants Wilwood ont des arêtes vives créées à l'intersection des surfaces usinées et les surfaces moulées.
Ceci est désagréable pour le mécanicien, donc j'ai décidé qu'il fallait limer les arêtes.
Je suis un peu déçu que des pièces d'une marque reconnue aient besoin de retouches avant l'utilisation.
Au travail nous avons des pièces semblables avec des arêtes coupantes créées par l'usinage des pièces moulées. La plupart du temps, les opérateurs manipulent des pièces avec des gants.
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Avec la modification des moyeux arrières complétée, j'ai pu réassembler les moyeux avec des crampons Dorman 610-323 (extra long).
Ce sont ces crampons dans mes moyeux Brian Sandburn, donc je voulais avoir la même quincaillerie aux quatre coins.
Guy, ce serait ce crampon Dorman à employer si tu voulais mettre un spacer derrière tes roues.